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Comment accueillir dignement les réfugiés ? : réécoutez la soirée débat avec François Gemenne

Ce mercredi 30 septembre, j'ai organisé au Palais des sports de Besançon, une soirée débat autour de la question : "Comment accueillir dignement les réfugiés ?". Pour cela, j'avais invité François GEMENNE, chercheur à Sciences Po Paris et à l'Université de Liège, spécialiste des flux migratoire. Devant une assemblée de près de 130 personnes, vous avez pu évoquer ce sujet d'actualité qui est pourtant en débat depuis de nombreux mois, sans avoir jusqu'ici, suscité de réactions à la hauteur des enjeux. L'éclairage de François GEMENNE a été particulièrement intéressant afin d'envisager ce que nous aurions collectivement à "gagner" en ouvrant…

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Accueil des réfugiés : interview de François Gemenne (L’Est républicain)

POLITIQUE - CHERCHEUR À SCIENCES PO PARIS ET SPÉCIALISTE DE L’IMMIGRATION, L’UNIVERSITAIRE BELGE FRANÇOIS GEMENNE DÉBATTRA MERCREDI À BESANÇON DE L’ACCUEIL DES RÉFUGIÉS Besançon. La députée PS du Doubs Barbara Romagnan organise régulièrement des débats à thèmes. François Gemenne, chercheur à Sciences Po Paris et à l’Université de Liège, spécialiste des flux migratoires, sera son hôte mercredi 30 septembre (Palais des sports de Besançon, salle VIP, 20 h) afin d’évoquer le défi de l’accueil auquel l’Europe est confrontée. « La France a été à la traîne de la plupart de ses voisins et ce manque de solidarité est difficile pour…

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Comment accueillir dignement les réfugiés ? : soirée-débat le 30 septembre à 20h

L’Europe fait face à un afflux massif de réfugiés. Notre pays a été à la traîne de la plupart de ses voisins pour l’accueil de ces demandeurs d’asile. Un manque de solidarité difficile à accepter malgré les difficultés actuelles. L’accueil des réfugiés qui fuient la guerre en Syrie est un impératif humanitaire absolu. Dans une Europe en crise profonde, l’arrivée de centaines de milliers de personnes représente certes aussi un défi économique et social difficile. Mais ne peut-il pas être surmonté plus aisément qu’on ne le pense à condition de rompre avec l’orthodoxie économique en vigueur ? Un plan Marshall…

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Accueil des réfugiés : la Ville de Besançon met en place une plateforme collaborative

La Ville de Besançon s’apprête à accueillir une quarantaine de réfugiés dans le courant du mois d’octobre. Afin d’organiser au mieux la collecte de dons offerts par les citoyens, un site internet a été créé. Chacun peut y déposer ses offres de biens matériels ou de bénévolat. Si vous souhaitez participer à ce grand élan solidaire, rendez-vous à l’adresse suivante : http://solidairesrefugies.grandbesancon.fr/

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Réouverture exceptionnelle de l’inscription sur les listes électorales jusqu’au 30 septembre 2015

ÉlectionsA l’occasion des élections régionales 2015, qui se tiendront les 6 et 13 décembre 2015, les listes électorales sont réouvertes afin que celles et ceux qui ne sont pas inscrits ou qui ont déménagé puissent voter dans leur commune. En effet, la loi du 13 juillet 2015, visant à la réouverture exceptionnelle des délais d’inscription sur les listes électorales permet de revenir sur le principe de révision annuelle des listes électorales prévu par le code électoral. Normalement closes le 31 décembre de l’année précédant le vote, les demandes d’inscription déposées jusqu’au  30 septembre 2015 seront prises en compte.

Alors que les non-inscrits représentent 7% du corps électoral, en raison le plus souvent d’un éloignement ou d’une forme d’indifférence, cette mesure exceptionnelle permet d’assouplir notre système d’inscription que l’on sait complexe ce qui, compte tenu de la défiance des électeurs vis-à-vis des politiques et de l’abstention qui en résulte, n’est pas sans conséquences politiques.

Comment s’inscrire sur les listes électorales ?

Dans votre mairie pendant les heures d’ouverture jusqu’au mercredi 30 septembre 2015 inclus, en vous munissant :

  • d’une pièce d’identité en cours de validité (carte d’identité, passeport)
  • d’un justificatif de domicile : document de moins de trois mois prouvant que vous êtes bien domicilié dans la commune ou que vous y résidez depuis au moins six mois (par exemple des factures de téléphone ou d’électricité, votre avis d’imposition, des quittances de loyer…)

Par courrier : adressez à la mairie de votre commune le formulaire agréé disponible en téléchargement (à la fin de cet article) ou en ligne ici . Le formulaire doit être accompagné impérativement d’une copie de votre pièce d’identité et d’un justificatif de domicile. Il doit parvenir à la mairie au plus tard le 30 septembre 2015.

Sur internet : si votre commune est raccordée aux démarches en ligne.

Comment s’inscrire sur Internet ?

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Le bulletin de votre députée - 2015

Trois ans après mon élection à l’Assemblée nationale et comme j’en ai pris l’engagement, je viens de réaliser un nouveau document synthétique présentant quelques-uns des temps forts du travail parlementaire et de l’exercice de mon mandat. Je vous invite à le consulter ci-dessous ou à le télécharger et à le diffuser. Par ailleurs, j’organise 4 réunions publiques pour rendre compte de mon mandat : Vendredi 12 juin à 20h Byans-sur-Doubs, salle des associations (1 place de l’Église) Lundi 15 juin à 20h Besançon Planoise, salle des Époisses (5 avenue de Bourgogne) Mardi 23 juin à 20h Besançon Montrapon, salle Haag…

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Trop bon pour être jeté

Le Ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt a mis en place en 2013, le Pacte national de lutte contre le gaspillage alimentaire visant à diminuer par deux le gaspillage en France d’ici à 2025. Le gaspillage alimentaire dans la consommation des ménages en France représente en moyenne 20 kg de déchets par an et par personne dont 7 kg de déchets alimentaires non consommés encore emballés. Jeter de la nourriture alors que de nombreux Français dépendent de l’aide alimentaire pour vivre doit nous poser problème. L’union locale de la CLCV Besançon, a décidé de s’engager concrètement contre…

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France-Suisse : un projet pour encourager la place des femmes en agriculture

Vendredi 20 mars, j’ai participé à Yverdon-les-Bains, à la journée de clôture du projet FARAH (Femmes en Agriculture : Responsables et Autonomes en complémentarité avec les Hommes), un programme de coopération territoriale franco-suisse 2012-2015, dans le cadre des fonds INTERREG, mené côté français par TRAME (centre de ressources agricole et rural) et côté suisse par Agridea (développement de l’agriculture et de l’espace rural). L’après-midi, la table ronde lors de laquelle je suis intervenue avait pour thème « L’égalité homme-femme : au-delà des lois ».

Le projet FARAH constitue à mon sens une démarche particulièrement intéressante et innovante. Il part du constat que les femmes jouent un grand rôle dans le secteur agricole, en France comme en Suisse. Mais elles souffrent d’un manque de visibilité, tant au niveau de l’exploitation que des instances représentatives agricoles. Quelques chiffres et faits en témoignent :

  • 5 500 femmes participent à l’activité agricole en Franche-Comté (28 % des actifs agricoles permanents) et 61 300 en Suisse (37 % des actifs agricoles permanents)
  • 19 % des chefs d’exploitations ou coexploitants sont des femmes en Franche-Comté, contre seulement 5 % en Suisse, où les femmes ne bénéficient pas d’un statut aussi étoffé qu’en France
  • Les femmes sont moins présentes dans les organisations techniques et spécialisées, et davantage dans les organisations économiques et sociales
  • Peu de femmes occupent des postes clés, surtout quand les responsabilités s’éloignent du local, tant en Franche-Comté qu’en Suisse

Pourtant, bien souvent, les femmes endossent le rôle d’intermédiaire entre différents secteurs de la population : famille, associations, activités hors exploitation, tourisme…, ce qui les conduit à bénéficier d’un « capital social » supérieur et plus varié que les hommes.

Pour des raisons économiques, les femmes conservent de plus en plus souvent un emploi à l’extérieur de l’exploitation agricole ou s’engagent dans la diversification, ce qui se traduit de fait par une surcharge de travail dans la mesure où elles ne sont pas soulagées dans la même proportion de leurs activités « traditionnelles » (tâches domestiques, familiales…).

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