Après la présidentielle, la gauche sociale et écologique doit se rassembler pour les législatives
Je salue aujourd’hui la victoire d’Emmanuel Macron qui devient le président de tous les Français. Je me réjouis surtout de la mobilisation des électeurs qui ont permis cette victoire et assuré ainsi la défaite de la représentante de la xénophobie et du repli nationaliste. Certes le Front national (FN) n’est pas au pouvoir, mais il progresse dangereusement. Avec presque 35 %, son score a quasiment doublé depuis 2002. De même, le taux d’abstention, le nombre de bulletins blancs et nuls, indicateurs d’une véritable perte de confiance, sont exceptionnellement élevés. Il est urgent de s’attaquer aux racines du désespoir qui ronge…