Archives pour septembre, 2013
Egalité femmes-hommes : large majorité au Sénat pour le projet de loi
18/09/13
Très tard la nuit dernière, les sénateurs ont adopté, en première lecture, le projet de loi pour l’égalité entre les femmes et les hommes. Seule l’UMP a voté contre ce texte. La gauche unie mais aussi le centre ont approuvé un projet de loi qui permet par une approche globale de l’égalité entre les femmes et les hommes d’accélérer sa concrétisation.
Les parlementaires de la Haute Assemblée ont d’ailleurs permis, à travers divers amendements, d’approfondir les mesures présentées par le Gouvernement.
Je suis, à ce titre, tout à fait satisfaite de la nouvelle dénomination du CLCA (complément de libre choix d’activité) requalifiée « prestation partagée d’accueil de l’enfant » afin de ne plus faire référence à un choix qui est en réalité, dans nombre de cas, une obligation face au défaut de garde et parfois à la pression sociale. Le droit à l’accompagnement à l’issue de ce congé parental, initié par les sénateurs est également une avancée importante pour faciliter le retour à l’emploi.
Je salue également la création d’un indicateur suivant les écarts de promotion pour mieux lutter contre les plafonds de verre, c’est-à-dire contre l’absence des femmes dans les plus hautes responsabilités des entreprises.
Je considère également comme un véritable progrès l’amendement porté par Laurence Rossignol tendant à élargir le champ du délit d’entrave à l’IVG en sanctionnant le fait d’empêcher de « s’informer » sur l’IVG, soit toute tentative de blocage des centres (comme cela se fait régulièrement, par exemple, devant l’hôpital Tenon à Paris) ou encore celui élargissant les possibilités de recours au téléphone d’urgence aux victimes de viol.
C’est désormais à nous, députés de construire à partir de ce texte amendé et adopté par le sénat des propositions dans le sens de l’esprit du texte, c’est-à-dire pour que « l’égalité ne soit plus la revendication de quelques-unes mais l’exigence partagée, et vécue, de la véritable universalité républicaine » (pour reprendre les termes de la Ministre).
CSG progressive : 74 députés engagés pour remettre la justice fiscale et le pouvoir d’achat au cœur du budget 2014
18/09/13
Alors que le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2014 sera présenté prochainement par le Gouvernement puis en débat au Parlement, je fais partie d’un groupe de 74 députés de la majorité – notamment mes collègues franc-comtois Eric Alauzet et Jean-Michel Villaumé – qui proposera deux amendements introduisant une CSG progressive, pour la justice fiscale et le pouvoir d’achat.
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En juillet dernier, responsables et parlementaires de la majorité, nous avions appelé de nos vœux la mise en œuvre d’une grande réforme fiscale conformément à l’engagement n°14 du Président de la République.
Alors que s’ouvre, dans des conditions difficiles, le débat public sur les orientations budgétaires pour 2014 et que la préoccupation du pouvoir d’achat prend de l’ampleur dans nos territoires, il est temps de poursuivre cette initiative commune.
Nos propositions ne semblent pas avoir été retenues dans les premiers arbitrages du budget 2014. Parlementaires de la majorité, nous soutenons l’élargissement du mécanisme de décote de l’impôt sur le revenu proposé par le Premier ministre, mais nous pensons qu’il est possible d’aller plus loin sur le terrain du pouvoir d’achat.
Nous souhaitons donc déposer deux amendements au futur projet de loi de financement de la sécurité sociale pour rendre la CSG progressive. Cette mesure de justice fiscale permettrait de rendre, de manière substantielle, du pouvoir d’achat aux catégories populaires et moyennes sans accroître le déficit public : à titre d’exemple, avec cette réforme, un couple marié, rémunéré au SMIC, avec deux enfants à charge, verrait son pouvoir d’achat augmenter de près de 75 euros par mois.
Rendre la CSG progressive constituerait un engagement fort du Gouvernement en faveur d’une politique juste qui produise des effets réels et rapides sur la fiche de paye, tout en réduisant les inégalités.
Agenda - Semaine du 9 septembre 2013
16/09/13
Lundi 9 septembre
rencontre avec le comité départemental de sport adapté du Doubs - rendez-vous avec des habitants à la permanence - rendez-vous avec le nouveau commandant de la région de gendarmerie de Franche-Comté - départ à Paris
Mardi 10 septembre
réunion du groupe de travail socialiste sur les retraites - réunion du groupe socialiste à l’Assemblée nationale - ouverture de la session extraordinaire : examen du projet de loi ALUR - présentation de la saison culturelle de la Scène nationale de Besançon - match de basket Chalon-Strasbourg au Palais des sports de Besançon
Mercredi 11 septembre
commission des affaires sociales - audition sur les retraites par la délégation aux droits des femmes - réunion du groupe socialiste à l’Assemblée nationale - séance des questions d’actualité au Gouvernement - dernière lecture du projet de loi sur la transparence de la vie publique - commission des affaires sociales
Vendredi 13 septembre
journée d’échanges sur la biodiversité à Quingey - concert d’ouverture du festival de musique de Besançon Franche-Comté
Dimanche 15 septembre
festival de musique de Besançon Franche-Comté
Flash info - Semaine du 9 septembre 2013
16/09/13
François Hollande - Le président de la République a répondu aux questions de Claire Chazal au journal télévisé de 20 heures de TF1 >> Revoir l’interview
Redressement productif - La France lance 34 plans de « reconquête industrielle » pour hisser au meilleur niveau de la compétition mondiale ses filières les plus prometteuses. Et réinventer son récit industriel. >> En savoir plus
Logement - La loi Alur est une loi ambitieuse et adaptée à notre époque et à la crise que nous traversons. Elle doit permettre d’activer tous les leviers pour lutter enfin efficacement contre la crise du logement, marquée depuis de nombreuses années par la flambée des prix, une pénurie de logements et une baisse du pouvoir d’achat des ménages. 3 objectifs : Réguler, protéger, innover. >> En savoir plus
Education - Installée le 9 septembre par Vincent Peillon, la Charte de la laïcité rappelle les règles essentielles qui permettent de vivre ensemble dans l’espace scolaire. Pédagogique, elle aide chacun à comprendre le sens de ces règles fondées sur les valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité de la République. >> En savoir plus
Agriculture - Les pensions des retraités agricoles, et en particulier celles des femmes, sont parmi les plus faibles. Le président de la République s’est engagé le 17 avril 2012 sur un ensemble de mesures en faveur des retraités agricoles. Le projet de loi concrétise ces engagements. Les pensions des anciens exploitants agricoles et de leurs conjoints seront revalorisées. >> En savoir plus
Professorat - À la rentrée 2013, une École supérieure du professorat et de l’éducation (ESPE) ouvre ses portes dans chaque académie. Les ESPE formeront les enseignants de la maternelle à l’Université mais aussi l’ensemble des professionnels de l’éducation. >> En savoir plus
Syrie : quelles décisions et par qui ?
13/09/13
Il est des questions particulièrement difficiles à trancher. Difficiles parce que le manque d’informations complique les analyses ; difficiles parce que les conséquences d’une décision ou d’une action sont parfois malaisées à évaluer, tant dans l’espace que dans le temps ; difficiles aussi parce que ne rien décider a également un impact ; difficiles enfin parce que les vies en jeu exigeraient une action rapide et des réponses précises, alors que la complexité de la situation demande aussi et surtout une réflexion aboutie.
C’est sur une telle situation que les députés auront peut-être à se prononcer. Voici l’état de ma réflexion aujourd’hui.
Les raisons d’agir
Oui, il faut agir, car ce qui se passe en Syrie est très grave, à la fois en raison du nombre de victimes mais aussi du type d’armes utilisées (le gaz bien sûr mais aussi les armes à sous-munitions) utilisées indifféremment contre les militaires et les populations civiles. Il est cependant possible d’agir autrement que militairement, sans qu’il soit question pour autant de se dérober à nos responsabilités, et pas simplement pour se déculpabiliser de n’être que spectateurs. Là encore, il est excessivement compliqué de déterminer la nature de notre « responsabilité ». Comment transformer notre indignation légitime en réponse appropriée, efficace et malgré tout prudente ? Dans la perspective d’une action en effet, un certain nombre de questions doivent être clairement posées.
Dans quelle stratégie globale de résolution du conflit s’inscrit l’intervention militaire qui est envisagée ? Une telle intervention contribuera-t-elle à rapprocher la Syrie et d’autres Etats de la table des négociations ou au contraire à les en éloigner ? Dissuadera-t-elle ceux qui ont utilisé les gaz (vraisemblablement les autorités syriennes, mais nous n’en sommes pas absolument certains) de commettre de futurs crimes contre la population syrienne ? Une telle intervention aura-t-elle un effet sur ceux qui, partout dans le monde, seraient tentés d’utiliser l’arme chimique contre d’autres populations ?
Quel rôle pour le parlement ?
Je suis favorable de longue date à ce que la Représentation nationale donne son avis sur l’entrée en conflit. La Constitution offre, par son article 50-1, la possibilité au gouvernement de soumettre chacune de ses décisions à un débat parlementaire et à un vote de l’une ou l’autre des assemblées. Elle prévoit même, à l’article 35, qu’il revient au Parlement d’autoriser la déclaration de guerre. Elle ne prévoit cependant pas, via l’article35 al.2, un vote du Parlement lors d’une intervention des forces armées.
Pourtant, il ne me parait pas raisonnable que cette décision soit prise par un seul homme, fût-il Président de la République. La décision d’engager une intervention militaire est une décision profondément liée à la souveraineté, et suffisamment lourde de conséquences pour qu’il soit préféré une consultation plus large des représentants élus par le peuple.
De plus, le Président des Etats-Unis, en décidant de consulter le Congrès, a ouvert un espace et un temps politiques qui ont permis de faire émerger une solution diplomatique – même s’il est encore trop tôt pour savoir si elle peut être considérée comme satisfaisante.
S’il ne faut pas exclure l’intervention militaire a priori, on ne doit l’envisager, à mon sens, qu’après la présentation des résultats de l’enquête menée par l’ONU. Eu égard au nombre de vies en jeu, il peut sembler insupportable d’attendre. Mais les Etats se sont efforcés de doter le monde d’institutions internationales fondées sur un droit qui n’a d’effet et de valeur que s’il est respecté. Il est très difficile de l’admettre au vue des conséquences humaines, mais l’observation et l’attente d’éléments demeurent des étapes essentielles.
L’autre condition sine qua non à une intervention militaire est qu’elle s’élabore dans le cadre d’une coalition la plus large possible, intégrant nécessairement des Etats de la région concernée. Il n’est pas souhaitable en effet, tant pour des raisons politiques, géopolitiques que logistiques, que la France intervienne seule ou insuffisamment appuyée. Enfin, la pertinence d’une intervention est conditionnée à son inscription dans un plan plus vaste incluant une action diplomatique et politique à la hauteur des enjeux de la crise syrienne, qui ne saurait être résumée à la seule question militaire.
Sur un sujet aussi délicat que celui de la Syrie, les positions sont susceptibles d’évoluer très rapidement, tout comme l’état des informations dont nous disposons. Ces données font que toute décision est susceptible de devenir une erreur peu de temps après avoir été prise. Dans une telle situation, l’immobilisme serait une faute, mais la réflexion – même douloureuse – n’est pas un immobilisme.
Question écrite : l’Etat et le réseau autoroutier français
11/09/13
Suite à la publication d’un rapport de la Cour des comptes commandé par la commission des Finances de l’Assemblée nationale, j’ai adressé une question écrite à Frédéric Cuvillier, ministre délégué chargé des Transports, de la Mer et de la Pêche au sujet des relations entre l’Etat et les sociétés autoroutières, depuis la privatisation totale réalisée en 2005. Le rapport y décrit des relations pour le moins déséquilibrées, où les intérêt de l’Etat et des citoyens sont souvent moins entendus que les intérêts privés des sociétés autoroutières, notamment pour ce qui concerne les tarifs des péages qui augmentent plus vite que l’inflation.
Mme Barbara Romagnan appelle l’attention de M. le ministre délégué auprès du ministre de l’écologie, du développement durable et de l’énergie, chargé des transports, de la mer et de la pêche, sur les relations entre l’État et les sociétés autoroutières, notamment depuis la privatisation totale réalisée en 2005.
Dans un rapport commandé par la commission des finances de l’Assemblée nationale et rendu le 24 juillet 2013, la cour des comptes dresse un état des lieux pour le moins contrasté de ces relations : déséquilibre dans le rôle de contrôle et de négociation de l’État au bénéfice des sociétés autoroutières adossées à de grands groupes du BTP, hausse des tarifs des péages nettement supérieure à l’inflation, contrats de plan conçus pour être l’exception et devenus la règle, hausse des investissements compensée par une hausse des tarifs sans aucune mobilisation des bénéfices croissants des sociétés autoroutières.
La cour des comptes précise que « ce contexte place les pouvoirs publics dans une situation qui ne permet pas de garantir que les intérêts des usagers et de l’État soient suffisamment pris en compte » et formule plusieurs recommandations.
Aussi, elle souhaiterait savoir si une évaluation de la privatisation totale a été réalisée depuis 2005 et quelles suites le Gouvernement entend donner aux recommandations de la cour des comptes pour préserver les intérêts de l’État et des usagers dans la gestion du réseau autoroutier français.
Dominique Méda : « Nous vivons toujours dans la mystique de la croissance »
10/09/13
Je souhaite partager avec vous cette interview de Dominique Méda, professeure de sociologie à l’Université Paris-Dauphine, parue dans Libération de ce mardi 10 septembre.
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Alors que les experts économiques s’extasient à l’idée d’un frémissement de la croissance dans la vieille Europe, la sociologue Dominique Méda propose une démarche totalement inverse : oublier notre obsession de la croissance et de la performance maximale pour entamer une autre voie de développement. La Mystique de la croissance, qui vient de paraître chez Flammarion, n’est pas un énième plaidoyer pour la décroissance. Pour Dominique Méda, professeure de sociologie à l’université Paris-Dauphine, la reconversion écologique n’est pas une punition. Elle n’a de sens que si elle s’articule autour de la justice sociale, avec des bienfaits pour tous comme l’exigence de biens et d’emplois de qualité mais aussi la jouissance de plus de temps libre.
Jamais la préoccupation écologique n’a été aussi grande, on n’a jamais autant parlé de modes alternatifs de production, pourtant la croissance reste la référence absolue de notre modèle économique. Pourquoi ?
Parce que la plupart de nos dispositifs économiques et sociaux dépendent aujourd’hui de la croissance et que nous sommes des «sociétés fondées sur la croissance». Depuis Adam Smith et ses Recherches sur la nature et la cause des richesses des nations, nous considérons que la production est au centre de la fabrique du lien social. Nous pensons que sans croissance nos sociétés vont s’effondrer.
Depuis la fin des Trente Glorieuses, nous implorons le retour de la croissance, nous scrutons l’horizon, nous consultons fiévreusement les augures. Malgré tous les discours sur un autre développement possible, nous continuons à croire dans la mystique de la croissance. Pourtant, si la croissance est nécessaire pour sortir de la grave crise économique et sociale dans laquelle nous nous trouvons, elle accentue la crise écologique avec son cortège de pollutions, d’écosystèmes dégradés, d’émissions de gaz à effets de serre susceptibles d’entraîner un dérèglement climatique majeur. Nous découvrons - ou plutôt nous redécouvrons, car les années 70 avaient une conscience aiguë de cette situation -, que la croissance ne génère pas que des bienfaits mais aussi des maux.
Ce que nous oublions chaque jour quand nous prenons notre voiture ou nous achetons le dernier smartphone ?
C’est ce que j’appelle l’invisibilité des coûts de la croissance : le produit intérieur brut (PIB) occulte, par construction, les coûts de l’augmentation de la production sur le patrimoine naturel et les conditions de vie. Ce que les années 70 appelaient les «dégâts du progrès». Edmond Maire, le secrétaire général de la CFDT, écrivait en 1972 que la croissance et l’idéologie de la consommation obsession «non seulement ne répondent plus aux besoins humains fondamentaux mais ne peuvent plus être poursuivies sans conduire le monde à la catastrophe». Le lien était déjà établi à l’époque entre la recherche effrénée de gains de productivité et l’exploitation intensive des ressources naturelles, d’une part, et la dégradation des conditions de vie, du sens du travail et de l’environnement, d’autre part.
Mais remettre en cause la consommation obsession ne relève-t-il pas de la punition dans une société où la qualité de vie vient aussi de la richesse et de la disponibilité des biens…
En effet, le discours de la reconversion écologique apparaît souvent comme la double peine : il faudrait se serrer la ceinture une première fois du fait de la crise et des mesures d’austérité puis une seconde fois pour prévenir la crise écologique. La question de la consommation est donc centrale. Impossible de demander aux pays les moins développés ou à ceux de nos concitoyens, nombreux, qui n’ont pas accès à des moyens convenables d’existence de réduire leur consommation au nom d’un changement climatique susceptible d’intervenir en 2050.
Il faut reconnaître de surcroît le caractère addictif et profondément gratifiant de l’acte de consommation. Il apparaît plus que jamais porteur de libertés pour des individus qui sont de plus en plus contraints, notamment au travail : par le choix infini qu’il semble leur offrir et par l’usage de cet instrument majeur d’émancipation qu’est l’argent.
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Flash info - Semaine du 2 septembre 2013
10/09/13
Simplification - Le choc de simplification, c’est permettre à chaque PME de « penser à son métier plutôt qu’à ses papiers ». Le Gouvernement va prendre par ordonnances des mesures très concrètes pour faciliter la vie des entreprises afin qu’elles se concentrent sur leur cœur de métier : créer et innover. >> En savoir plus
Rentrée scolaire - La loi du 8 juillet a été votée et promulguée. C’est à présent dans les classes que se joue la refondation. Ses objectifs : permettre aux élèves de mieux apprendre, pour qu’ils puissent tous réussir, et former les citoyens de demain. Zoom sur les 10 changements majeurs de cette rentrée 2013. >> En savoir plus
Femmes - Les débuts et le quotidien d’une créatrice d’entreprise s’apparentent trop souvent au « parcours d’une combattante ». Le plan de promotion de l’entrepreneuriat féminin permettra de mieux accompagner les projets des femmes et de leur faciliter l’accès à des financements. >> En savoir plus
Etudiants - Le logement est le premier poste de dépenses des étudiants. Dans un marché immobilier saturé, se loger est un véritable parcours du combattant. Pour pallier ce problème, le Gouvernement lance la caution locative étudiante (CLE) et accélère les projets de construction. >> En savoir plus
Egalité professionnelle - Le ministre du Travail, de l’Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social et la ministre des Droits des femmes, porte-parole du Gouvernement, ont présenté une communication sur les mesures visant à rendre effectif le principe « à travail de valeur égale, salaire égal », inscrit dans le code du travail depuis 1972. >> En savoir plus
Agenda - Semaine du 2 septembre 2013
10/09/13
Mardi 3 septembre
rentrée scolaire - réjeuner avec Marie-Guite Dufay et Eric Alauzet au restaurant d’application du Lycée Condé à Besançon
Mercredi 4 septembre
session parlementaire extraordinaire : débat sur le conflit syrien
Jeudi 5 septembre
interview sur RCF Besançon - réunion commune avec Eric Alauzet, avce les organisateurs de colonies de vacances suite au rapport parlementaire
Vendredi 6 septembre
rencontre avec le directeur délégué aux affaires territoriales de la SNCF Bourgogne Franche-Comté - rendez-vous avec l’équipe de direction de l’ADDSEA - visite de l’entreprise Atlantide environnement à Velesmes-Essarts - cérémonie de la Libération de Boussières
Samedi 7 septembre
marché de Pugey - inauguration du nouveau monument et de la nouvelle place de Champagney
Dimanche 8 septembre
commémoration du 69e anniversaire de la Libération de Besançon, au poteau des Fusillés à la Citadelle - cavalcade de Saint-Ferjeux - match de football avec le club de Montrapon - invitée du journal 19/20 de France 3 Franche-Comté
Mobilisés pour le sport adapté
9/09/13
Ce lundi, j’ai rencontré à ma permanence parlementaire la présidente du Comité départemental de sport adapté du Doubs. Cet échange intéressant me donne l’occasion de saluer le travail qu’accomplit la Fédération française du sport adapté qui œuvre au quotidien au service des personnes en situation de handicaps mentaux ou psychiques.
Il s’agit d’offrir à tous l’opportunité de vivre sa passion du sport dans un environnement adapté aux troubles de chacun.
Avec une offre sportive toujours plus abondante et mieux adaptée, cette structure permet à la fois de valoriser les personnes en situation de handicap en améliorant la santé, l’autonomie, la concentration et de favoriser l’intégration sociale pour vaincre l’isolement dans lequel peut se trouver la personne handicapée.
Parce que la situation de handicap mental ou psychique n’annule pas la capacité d’agir, le corps devient source de plaisir et d’équilibre.
Dans le Doubs, on compte 479 licenciés et la section de Besançon organisera dans les prochains mois les championnats de France VTT 2014 de sport adapté.