Notre profession de foi pour le second tour
14/06/12
Il ne reste que quelques jours, quelques heures avant le second tour des élections législatives, ce dimanche 17 juin. Nous restons très mobilisés sur le terrain à la rencontre des habitants de la circonscription, particulièrement celles et ceux qui ne sont pas allés voter dimanche dernier. Rien n’est joué, jusqu’à la dernière minute, nous devons convaincre, convaincre encore, convaincre toujours pour donner une majorité au changement, à François Hollande et Jean-Marc Ayrault.
Voici la profession de foi du 2nd tour qui parvient actuellement chez l’ensemble des électeurs de la circonscription. N’hésitez pas à la transmettre et à la partager à vos proches. N’hésitez pas à mobiliser votre entourage pour faire diminuer l’abstention et que la victoire de la gauche dimanche soir belle et forte.
Débat en direct à 16h avec macommune.info et France Bleu
12/06/12
Je vous donne rendez-vous ce mardi 12 juin à partir de 16h pour le grand débat du second tour des législatives organisé par macommune.info et France Bleu Besançon et qui m’opposera à Françoise Branget.
Vous pouvez assister au débat à Micropolis (hall E) dans la limite des places disponibles, et visionner le débat de 16h à 17h30 sur le site internet de macommune.info.
Premier tour : mon intervention sur France 3 Franche-Comté en direct
11/06/12
Je suis intervenue en direct dimanche 10 juin sur France 3 Franche-Comté lors de l’émission spéciale à l’occasion des législatives 2012. L’occasion pour moi de réagir au bon score que je réalise avec Gérard Galliot dans la première circonscription, mais aussi d’appeler à la mobilisation en vue du second tour, parce que rien n’est joué, rien n’est gagné d’avance !
Législatives 2012 - 1er tour - France 3… par barbara-romagnan
Premier tour : la dynamique est à gauche
11/06/12
Dimanche, vous avez choisi de me placer en tête de ce premier tour des élections législatives 2012 avec plus de 39 % des suffrages. Je vous en remercie très chaleureusement et vous exprime toute ma reconnaissance.
Ce premier pas est important. Grace à vous, le second tour est placé sous de bons augures. La victoire est possible le 17 juin prochain dans la première circonscription du Doubs. Pas seulement ma victoire, pas seulement la victoire du Parti Socialiste, mais la victoire de l’ensemble de la gauche, des écologistes et des humanistes, tous ceux qui souhaitent permettre à François hollande de poursuivre le changement engagé.
Afin de rester unis et mobilisés, je vous invite à nous rejoindre lors d’un grand meeting-concert commun aux deux candidats du changement, Éric Alauzet et moi-même, ce mercredi 13 juin à 20h au Grand Kursaal de Besançon.
J’adresse par ailleurs tous mes encouragements à Éric Alauzet, Arnaud Marthey, Pierre Moscovici et Liliane Lucchesi, qui ont porté nos valeurs dans les autres circonscriptions du Doubs et qui, tous, défieront la droite au second tour de ces élections législatives.
Demain, une large majorité pour le changement
Mais bien sûr, ce soir, l’espérance dépasse de beaucoup les frontières du Doubs… Pour la première fois depuis 1997, toutes les conditions sont réunies pour qu’une majorité de gauche entre à l’Assemblée nationale. Plus de 47 % des électeurs ont en effet choisi de faire confiance au Parti Socialiste et à leurs alliés. Ils ont d’ores et déjà marqué leur volonté d’une autre politique pour la France. Une politique plus solidaire, plus juste et plus humaine.
N’oublions pas cependant que la victoire n’est pas acquise… L’anstention reste préoccupante. Plus que jamais, la gauche doit rester unie et mobilisée pour l’emporter. Dimanche prochain, confirmons ce mouvement, amplifions-le !
Donnons à François Hollande une majorité large et cohérente. Donnons-lui les moyens de mener le changement que nous attendons…
Barbara Romagnan & Gérard Galliot
Fin de la campagne officielle du premier tour
8/06/12
La campagne officielle pour le premier tour des élections législatives du 10 juin est close depuis vendredi soir à minuit.
Pour se conformer à la législation, aucune publication ne sera réalisée sur ce blog notes jusqu’à dimanche, 20 heures. De même, il n’est plus possible de commenter les publications existantes. Cependant, vous avez la possibilité de consulter librement l’ensemble des publications précédentes.
Et surtout, n’oubliez pas : rien n’est joué !
Ce dimanche 10 juin, votez et faites voter !
Ma réponse à la FNARS Franche-Comté
8/06/12
Le Président de la FNARS Franche-Comté (Fédération nationale des associations d’accueil et de réinsertion sociale) m’a adressé un courrier accompagné de la lettre ouverte « L’état d’urgence de l’urgence sociale ». Tout comme les membres de la FNARS, je suis préoccupée par la situation sociale actuelle des plus fragiles, une situation qui n’a cessée de s’aggraver ces dernières années à cause de la crise, mais aussi des choix politiques nationaux faits par le précédent gouvernement. Voici ma réponse.
Tribune commune : « Candidates, nous nous engageons »
8/06/12
Je signe une tribune, publiée aujourd’hui sur Mediapart, avec Martine Chantecaille, candidate PS dans la première circonscription de Vendée. Cette tribune commune est en signal fort. Nous nous engageons notamment à exercer notre mandat de façon exclusive, à défendre l’abrogation du décret de reconversion des parlementaires en avocats, et à pratiquer la transparence des moyens mis à notre disposition si nous sommes élus députées les 10 et 17 juin prochains.
Par un décret du 3 avril 2012, le gouvernement a étendu l’ouverture de la profession d’avocat sans concours ni formation aux « personnes justifiant de huit ans au moins d’exercice de responsabilité publiques les faisant directement participer à l’élaboration de la loi », c’est-à-dire les parlementaires et les ministres, mais également leurs assistants parlementaires. C’est un véritable passage en force auquel la majorité s’est adonnée en pleine fin de mandat pour créer un véritable filet de sécurité pour les parlementaires et ministres en cas de victoire de François Hollande. Le Conseil national des Barreaux s’était en effet vivement opposé à cette réforme, et s’y oppose toujours par un recours au Conseil d’Etat.
Cette passerelle est emblématique d’une conception singulière et critiquable de la politique. Une politique au service des élus, au détriment des citoyens. Une politique qui méprise une profession et se place au-dessus des lois. En méprisant ainsi les avocats, dont la profession n’est pas un lot de consolation d’hommes et de femmes politiques en mal d’électeurs, c’est la justice qui est une nouvelle fois touchée. C’est faire croire que le seul travail parlementaire, aussi déterminant soit-il dans les orientations politiques que prend la société française, donnerait une compétence suffisante pour défendre le citoyen dans les méandres de l’institution judiciaire, quand les avocats doivent suivre six voire sept années de formation appropriée avant de pouvoir porter la robe. Au-delà, c’est un mépris envers les citoyens. C’est un mépris tout d’abord dans la qualité qu’ils sont en droit d’attendre des professionnels du droit, puisque le gouvernement sortant considère que la défense devant la justice peut bien faire l’impasse sur la probable incompétence de quelques « catapultés » dont on a souhaité préserver les intérêts financiers. C’est un mépris également dans la confiance et la représentation qu’ils accordent, temporairement, par leurs votes, aux parlementaires et ministres qui en émanent.
Il s’agit là d’une véritable contradiction avec la mouvance citoyenne qui s’est dégagée le 6 mai dernier, et qui condamne avec force toute forme d’appropriation de la politique, devenue depuis trop longtemps synonyme de carriérisme et de privilèges. Le mot de mandat est d’ailleurs très significatif. En aucun cas, il n’est défini comme un emploi, permettant une évolution de carrière ou donnant lieu à l’obtention de primes. Une telle perception de la fonction d’élu, à laquelle se sont ajoutés scandales et désengagement des élus, a d’ailleurs conduit à une perte de crédibilité de l’action publique et, sans doute, à une montée de l’abstentionnisme.
Aujourd’hui, seule l’exemplarité de tous permettra de redonner à la politique la force démocratique nécessaire au progrès social. Le mandat politique doit reprendre tout son sens. Il doit être, véritablement, perçu et effectué comme une fonction confiée de manière temporaire par des électeurs à une personne qui agit, par délégation, en leur nom. Pour cela, chaque élu doit se sentir investi de trois responsabilités : une responsabilité d’action, une responsabilité de transparence, une responsabilité de partage et de temporalité. Ainsi, être un élu politique c’est tout d’abord agir. De la présence aux instances, aux rencontres de tous les acteurs de la société, aux temps d’écoute, de débat et de proposition, c’est un engagement quotidien, à temps plein, qui mérite énergie et conviction. Etre un élu politique, c’est ensuite agir au nom des citoyens, les représenter et par conséquent rendre publiques les prises de position politique et l’utilisation des moyens mis à sa disposition au titre du mandat. Etre un élu politique, c’est enfin avoir conscience que la démocratie implique un partage du pouvoir. Un partage d’autant plus efficient lorsqu’il s’applique le plus largement possible. Le cumul des mandats, au-delà de réduire les capacités d’action de l’élu, porte atteinte à ce partage. Une participation forte, dynamique et démocratique à la vie politique de l’ensemble des citoyens impose un mandat unique et limité dans le temps.
Candidates aux élections législatives de juin prochain, nous nous engageons à défendre l’abrogation de ce décret de reconversion des parlementaires. Nous nous engageons également, une fois élues, à inscrire dans la loi le non-cumul des mandats à la fois dans le temps et dans le nombre, de l’ensemble des élus, représentants des citoyens. Mais cet engagement n’aurait de sens si nous le portions uniquement pour nos successeurs. C’est pourquoi nous nous engageons dès à présent, si nous sommes élues le 17 juin, à la transparence sur l’utilisation des moyens mis à notre disposition et à exercer le mandat de parlementaire de façon exclusive.
Ma réponse au Syndicat national des journalistes
8/06/12
Le Syndicat national des journalistes m’a interrogée sur les questions et enjeux liés à la liberté de la presse et aux médias. Voici ma réponse sur cet enjeu démocratique très important.
Ma réponse à la Coordination nationale des comités de défense des hôpitaux de proximité
8/06/12
Le quinquennat de Nicolas Sarkozy a été marqué par des reculs particulièrement importants en matière de qualité et de présence des services publics de santé sur le territoire. Pour les hôpitaux publics, la logique financière de rentabilité et d’alignement sur les cliniques privées qui n’ont pourtant par les missions de service public et d’accueil de tous à assurer, quels que soient la pathologie et les revenus, a été désastreuse. Sur le terrain, elle s’est traduite par la fermeture et la fragilisation de nombreux hôpitaux de proximité.
La Coordination nationale des comités de défense des hôpitaux de proximité, basée à Lure (70), m’a interrogée et c’est bien volontiers que j’ai répondu à leur sollicitation.
Ma réponse à l’Association nationale des visiteurs de prison
8/06/12
L’Association nationale des visiteurs de prison m’a interrogée sur des problématiques fondamentales et qui me tiennent particulièrement à cœur. Je les ai d’ailleurs abordées à plusieurs reprises ici, sur mon blog notes. Voici la réponse que je viens de leur adresser en retour.